Whoopi Goldberg veut vendre. L’actrice américaine de renommée mondiale a mis en vente sa maison à Pacific Palisades, la célèbre station balnéaire américaine. Et le prix est à la hauteur des prestations proposées: 8,795 millions de dollars. La propriété refait donc son apparition sur le marché de l’immobilier de luxe, après pas moins de vingt-cinq ans: c’était en effet en 1993 que l’actrice avait conclu son achat pour 2,547 millions d’euros. Elle espère donc tirer une plus-value de 6 millions de cette vente, une façon de chanter Happy Day à nouveau avec Sœur Mary Clarence, comme dans Sister Act, le film qui l’a rendue célèbre auprès du grand public.
La maison ne manque pas d’espace: on compte pas moins de 2000 mètres carrés. Mais la propriété est aussi historique: elle a été construite en 1933 et pendant des années, elle a été l’une des marques distinctives de l’âge d’or d’Hollywood.
Que l’on se rassure, Whoopi a encore plusieurs propriétés dans son patrimoine: en 2009, elle a acheté une maison pour 2,8 millions de dollars dans la West Orange mais elle a aussi mis la main sur le ferme des Robinson-Winchester dans le Vermont. Une vraie passion pour les grandes maisons, donc, mais cette mise à vente a suscité la stupeur des experts : rares sont les maisons habitées aussi longtemps par des étoiles d’Hollywood.
La propriété est aussi extraordinaire pour son extérieur, caractérisé par une végétation luxuriante, une piscine et un espace détente, entouré de nombreux arbres.
Mais la maison séduira également les passionnés de lecture: dans le salon on trouve diverses étagères murales, idéales pour ranger livres et cahiers. L’open space donne par ailleurs la possibilité de disposer de confortables fauteuils, pour une détente complète. A l’étage supérieur, on trouve six chambres et autant de salles de bains: idéal pour ceux qui veulent accueillir un grand nombre d’amis… ou qui ont une grande famille. Le prix est assez élevé, mais la maison est un vrai bijou. Et n’oublions pas l’emplacement, un must pour les stars d’Hollywood.
