C’est le cas notamment du chanteur Robbie Williams qui avait acheté il y a cinq ans une demeure du XVIIIe siècle dans la campagne anglaise pour la bagatelle de 11 millions. Seulement voilà, pour se débarrasser de ce bien, la star britannique s’est contenté d’encaisser 6,8 millions pour sa vente. Une perte mémorable pour Robbie, mais son but était de se séparer au plus vite du bien car à son goût ce dernier était situé bien trop près de la décharge locale…
Même cas de figure pour le défunt acteur Robin Williams qui avait mis sur le marché Villa Sorriso, une méga villa de luxe au cœur de Napa Valley pour 35 millions de dollars. Devant le manque d’enthousiasme des acheteurs , Williams avait retiré sa propriété du marché avant de la remettre en vente pour un peu moins de 30 millions. Une ristourne importante, donc, mais qui n’a pas porté ses fruits puisque le bien est à ce jour toujours inhabité.
Pas de compromis possible en revanche pour l’écrivain Danielle Steel qui grâce à son incroyable succès dans les librairies, a réussi à mettre la main sur une superbe villa sur la plage de Stinson Beach. Aujourd’hui en vente pour 9 millions de dollars tout rond, l’auteur n’est pas décidé à baisser le prix de vente de cette villa avec vue sur océan, réalisée avec les matériaux les plus précieux.
Mais la patience finit par payer. C’est ce que doit penser Bruce Willis qui après une année de négociation a enfin réussi à céder sa villa de luxe à Beverly Hills pour 16,5 millions d’euros et demi (soit tout de même 5 millions de moins que son prix de vente initial).
Meryl Streep, elle, a aussi vendu son bien mais en s’octroyant même un bénéfice : payé 4,5 millions de dollars, elle l’a vendu pour 300.000 dollars de plus. Une broutille pour la star mais c’est toujours ça !
